2e DIMANCHE DE PÂQUES OU DIMANCHE DE LA MISÉRICORDE
DIVINE |
Le 30 avril
2000, alors qu’il procédait à la canonisation de sœur Faustina Kowalka,
le pape Jean-Paul II annonça, au cours de l’homélie, que désormais, le
2e dimanche de Pâques, dans toute l’Église, prendrait le nom de
« dimanche de la Miséricorde divine ».
Quelques
jours plus tard, soit le 5 mai 2000, en application de cette décision du
pape, le Congrégation pour le culte divin et la discipline des
sacrements publics, le décret suivant : « Le Seigneur est tendresse et
pitié » (Psaume 110, 4). A cause du très grand amour dont il nous a
aimés (Éphésiens 2, 4), il nous a donné dans sa bonté ineffable, son
Fils unique pour être notre Rédempteur; afin que par la Résurrection de
son Fils, le genre humain puisse accéder à la vie éternelle et que,
recevant sa miséricorde au milieu de son temple, ses enfants d’adoption
chantent sa gloire jusqu’aux extrémités de la terre.
A notre
époque, en de nombreuses parties du monde, les fidèles chrétiens
désirent exalter cette miséricorde par le culte divin et surtout par la
célébration du Mystère Pascal, dans lequel resplendit au plus haut point
la tendresse de Dieu à l’égard des hommes. Accueillant ces souhaits, le
Souverain Pontife Jean Paul II a bien voulu disposer que, dans le Missel
romain, au titre « deuxième dimanche de Pâques, on ajoute désormais
l’appellation « ou de la Miséricorde divine ».
N.B. – J’ai
tenu à tirer ce texte de l’ORDO parce que je trouvais qu’il permettrait
à un grand nombre de nos paroissiens de gouter intérieurement la saveur
de cette lettre du Pape Jean-Paul II Ce texte m’a grandement touché sur
la miséricorde et la tendresse de Dieu à notre égard.
Maurice
Comeau
Unité pastorale Montréal-Nord |
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